miércoles, 28 de octubre de 2009

LA PRINCESA DE ORLEANS CONDECORADA

El Sr. Bruno Delaye, Embajador de Francia en España, en nombre del Presidente de la República Francesa, impuso a la Princesa Beatriz de Orleans, la Insignia de Caballero de la Legión de Honor, la más prestigiosa condecoración francesa.


Yo asistí en Madrid a la recepción que, con motivo de la condecoración, ofreció la Embajada de Francia.



En el ampuloso vestíbulo de entrada, las Meninas esculpidas por Manolo Valdés hacían las veces de comité de recepción.

El embajador, en su encomiable discurso, no olvidó una sola palabra del extenso y profesional curriculum de la galardonada.

Licenciada en Ciencias Políticas por la Universidad de la Sorbona, y en Marketing por la Universdad de Cambridge, Beatriz de Orleans contrajo matrimonio con el Príncipe Michel de Orleans, hijo de los Condes de París, con quien tuvo cuatro hijos.

En 1974 se instala en Madrid y se dedica, con mucho éxito, a la promoción de la marca de moda Christian Dior y Perfumes Dior. Es galardonada con muchos premios, escribe libros sobre Arte y Relaciones Públicas, participa en un gran número de jurados, y muchas más cosas que pueden leerse en el magistral discurso del Sr. Bruno Delaye, que incluyo íntegro al final de este post.

Una vez condecorada, Beatriz pronunció, emocionada, unas palabras de agradecimiento en las que afirmó, con su tan característico acento francés, sentirse tan española como francesa.



Tres de los cuatros hijos de la Princesa, François, Adélaïde y Clotilde, subieron a la tarima para felicitarla, y posar para los medios informativos. El retraso del vuelo en que viajaba Charles-Philippe, le impidió llegar a tiempo para la foto.



La primera invitada en felicitar a Beatriz fue S.A.R la Duquesa de Badajoz.


Y también la Princesa Tessa de Baviera.


Al evento asistió una muy variada representación formada por aristócratas como la Duquesa de Cadaval, la Duquesa de Alcudia, el Príncipe Adam Czartorisky, la Condesa de Toreno, la Condesa de Romanones, los Condes de Riplada; Alejandra de Rojas y Maria Eugenia Fernández de Castro; escritores como Antonio Gala y Boris Izaguirre; decoradores como Pascua Ortega, Duarte Pinto Coelho y Ramiro Fofre; periodistas como Pepe Oneto, Rafael Ansón, Joana Bonet, Paloma Barrientos, Beatriz Cortazar, Jesús Mariñas y Rosa Villacastín; relaciones públicas como Jacob Bendahan, Tomás Terry, Eric Yerno, Carmen Valiño y Carlos Telmo; diseñadores como Elio Bernhayer y Agatha Ruiz de la Prada; galeristas como Soledad Lorenzo, joyeros como Luis Gil; empresarios como Pedro Trapote, Nieves Fontana o Philippe Guillaumet, y muchos otros miembros representativos de la sociedad de Madrid, cuya mención haría este listado interminable.


Tomás Terry, Carmen Martinez Bordíu, Sisita Milans del Bosch y Daniel San Martin.


Lola Alcaraz, Jefe de Protocolo de la Embajada, la Condesa de Romanones y el embajador Mike Stilianopoulos.


Pitita Ridruejo y el Príncipe Adam Czartorisky, amistad de un verano aprendiendo inglés en Irlanda, en 1963.


La Princesa Wanda de Ligne, Carmen Martinez Bordíu y Carlos Telmo.


Maria Zurita Borbón y Jacob Bendahan, conmigo.


La ex-modelo finlandesa y gran amiga Susie Lindberg, que fue mi pareja en esta ocasión, está aquí conversándo con Eric Yerno.

El modisto Elio Berhanyer y su colaboradora Mónica de Tomás.


Los escritores Boris Izaguirre y Antonio Gala.


Bruno Delaye, Embajador de Francia, y Agatha Ruiz de la Prada.


Beatriz Ortega saluda a S.A.R. la Infanta Doña Pilar.


Bruno Delaye, Alicia Viladomat y Julio Ayesa.


Una vez finalizados los parlamentos y las felicitaciones, se dió paso a una excelente cena en un salón adornado con magníficos tapices Gobelinos.


Al término de la velada, Beatriz de Orleans, despidió a los invitados en el vestíbulo.


La Princesa despidiendo a Covadonga O'Shea, comentando su vestido diseñado por Santiago Bandrés.


La Condesa de Romanones, Beatriz ante una de las Meninas de Manolo Valdés.



Al despedirme, recordamos la original fiesta de lanzamiento de Baby Dior, de cuya organización me encargó Beatriz.


Yo nunca había organizado un evento para niños pequeños, y me divertí muchísmo.

Monté una carpa rosa y de techo tranparente en el centro del Parque Turó, con mobiliario mini, diminutos canapés, y muchos juegos y actuaciones.


Actuó de madrina Verónica Blume, y los niños lo pasaron en grande.






Yo no podía faltar a esa tan merecida condecoración, pues Beatriz es una amiga que se ha portado siempre muy bien conmigo. Cuando presenté, en Madrid, mi segunda novela "La memoria enjaulada", que trata sobre el Alzheimer, ella estuvo entre los presentes.



Beatriz, con Silvia Alexandrowitz, una de las presentadoras de mi novela.

Esta gran mujer es una muy buena promotora y Relaciones Públicas.



Actualmente, Beatriz es la Directora de Comunicación y Relaciones Públicas del centro SHA Wellness Clinic, a cuya inauguración fuí invitado, pero lamentablemente no pude viajar aquel día, pero prometo hacer un reportaje de este espectacular establecimiento.






Fotos: Carlos Martorell y Sha.

EL DISCURSO DEL EMBAJADOR:

Su Alteza Real, la Infanta Doña Pilar,

Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,

Mesdames et Messieurs,

C’est un événement particulier qui nous rassemble ce soir à la Résidence de France. Dans quelques instants je vais remettre, au nom du Président de la République, les insignes de Chevalier de la Légion d’Honneur à Mme Béatrice Marie Guillemine Huguette d’ORLEANS, “Comtesse d’Evreux”.

Certains pourraient voir dans cette cérémonie un paradoxe, celui de remettre à une princesse française, membre d’une famille prétendant au trône de France la plus prestigieuse décoration de la République, créée par un Empereur issu de la Révolution française. Ce n’est pas mon analyse et cela n’a pas été celle du Président de la République, Grand Maître de l’Ordre National de la Légion d’Honneur, qui vous a nommée, par décret du 10 avril 2009, Chevalier de cet ordre.
Chère Béatrice d’Orléans,

Vous êtes née à Neuilly-sur-Seine Béatrice Pasquier de Franclieu, deuxième des trois filles du comte Bruno Pasquier de Franclieu et de Mme Jacqueline Térisse. Après des études secondaires en France au sein de plusieurs institutions catholiques, vous complétez vos études en Grande-Bretagne. Cela vous permet d’ajouter à votre diplôme en Sciences Politiques de La Sorbonne une maîtrise en Marketing de l’Université de Cambridge.

Dès cette époque, le monde de la Mode vous attire et vous travaillez au sein de l’agence Publicis pour des maisons aussi renommées que COURREGES, Yves SAINT-LAURENT, Jean-Louis SCHERRER ou UNGARO. Déjà votre parcours acquiert une dimension internationale qui ne vous quittera jamais et le journal américain de mode “Women’s Wear Daily” (WWD) fait appel à votre connaissance de la France et de ses secrets, de Mode notamment. Vous serez sa correspondante à Paris durant cinq ans, et vous passerez également six mois aux Etats Unis pour ce journal.

Quelques mois ont passé et vous faites la connaissance du Prince Michel d’Orléans, fils d’Henri d’Orléans, comte de Paris, que vous épousez quelques années plus tard. De cette union naîtront quatre enfants, Clotilde en 1968, Adélaïde en 1971, Charles-Philippe en 1973 et François en 1982. Après votre mariage, vous suivez le Prince Michel au Maroc puis en Angleterre. Vous vous installez enfin dans cette magnifique ville de Madrid en 1974. C’est donc l’Espagne et, en particulier Madrid, qui constitueront votre Amérique, passant du statut de quasi Terrae Incognitae à celui de véritable seconde patrie.

Avec le groupe MONTAIGNE, vous participez à l’aventure du lancement de DIOR COUTURE España et au développement du réseau Christian DIOR pour tout le territoire espagnol. En 1985, nommée Administratrice déléguée de DIOR COUTURE, vous démontrez très vite à ce poste une grande qualité, l’audace, en lançant l’usine du groupe DIOR en Catalogne. Vous êtes à cette époque, et vous le resterez longtemps, la seule Française femme d’affaires d’envergure internationale en Espagne. Fort logiquement, lors du rachat de DIOR par Bernard ARNAULT, vous êtes chargée de la création du département de Communication de “Parfums DIOR” et ouvrez un bureau, non loin de l’ambassade de France, sur la Plaza de la Independencia.

Vous vous employez alors durant les trente années que vous passez au sein de cette prestigieuse maison à faire connaître et reconnaître ce qui demeure l’un des atouts maîtres de notre pays, le LUXE.

Vous le savez, et vous le prouvez quotidiennement, le luxe pour le luxe, n’est que snobisme: “Sine Nobilis”, c’est à dire sans noblesse. Dans ce contexte, votre enfance, votre éducation, votre famille, les valeurs que vous avez reçues constituent autant d’atouts pour porter au plus haut dans votre pays d’adoption, je dirai même pour tous les Français ici présents, dans notre pays d’adoption, le concept de “Mode et Culture”. Car pour vous, Mode et Culture, plus que deux mots, sont deux principes indissociables. Ce sera la clé du succès de la communication de “Parfums DIOR” en Espagne.

Au-delà de cette communication, votre talent vous permet de porter la “bonne parole” dans de nombreux cercles et conférences. Je n’en citerai que quelques-uns tant ils ont été nombreux et divers : l’ICADE, au sein de la Fondation AXA, l’Université Complutense de Madrid, l’Université de Malaga, celle de Ténérife, l’Instituto de Empresa de Barcelone, l’Instituto de Empresa de Madrid, tant d’autres encore… Soucieuse de démocratiser l’accès à la culture de la Mode, vous contribuez à la création des chaires “Mode et Culture” de l’Université de Navarre, en 2001, et de l’Université Complutense en 2005.

Votre connaissance, à la fois personnelle, professionnelle et académique de ce monde si fascinant qu’est celui de la Mode vous conduit aussi à participer à de nombreux jurys. Là encore, je n’en citerai que quelques-uns, “Pasarela Cibeles”, “Mode à Tolède”, “Miss Espagne” notamment. Les autres médias, télévision, radio, magazines, vous offrent également tribune pour partager votre passion. A titre d’exemple, nombreux sont ceux qui se souviennent encore du dîner de gala que vous aviez organisé à l’occasion du lancement, à Madrid en 2007, de “Midnight Poison”, le nouveau parfum de Dior.

Dans le même esprit, votre souci constant du partage et de la Communication, toujours elle, vous incite à écrire et publier plusieurs ouvrages, notamment “Comprendre l’art et les antiquités, le guide pratique du collectionneur” (“Entender de arte y Antigüedades: Guía práctica del Coleccionista”) en 2004, “L’art de faire des relations publiques” (El Arte de hacer relaciones públicas”) en 2005 et dernièrement, en 2008, “La valeur de l’image : relations publiques et protocole dans l’Entreprise” (“El valor de la imagen, Relaciones públicas y protocolo en la empresa”). L’Ecriture se substitue alors à la Parole pour, encore une fois, Donner, Communiquer, Partager, Offrir.

L’Espagne et la société espagnole ne se sont pas trompées sur les passions qui vous animent. Elles les ont récompensées à de nombreuses reprises. Vous avez été ainsi distinguée du Prix de la “Mujer Empresaria” en 1998, du “Prix de la Communicación” par la Mairie de Madrid en 2000, du “Prix de l’élégance” de Radio Cope en 2004. Vous avez également été nommée “Estrella de Oro de la Comunicacion” de l’Association de la Presse présidée par Luis Maria Anson en 2005 et du “Dedal de Oro a la Mujer Empresaria” en 2007.

Chère Béatrice,

J’ai tracé en quelques mots le portrait d’une personnalité exceptionnelle, qui a connu une vie professionnelle non moins exceptionnelle, au service d’une cause qui tient à coeur à tous les Français et à tous les Espagnols. Je pourrais multiplier les exemples, les citations, les commentaires, tous élogieux, que j’ai recueillis auprès de tant de vos amis, collègues, relations, de votre famille…la soirée n’y suffirait pas !

Sachez qu’ils sont tous ici ce soir dont deux de mes prédécesseurs - je suis heureux de saluer Patrick Leclerc et Claude Blanchemaison-, autour de vous, pour saluer une grande Dame. Une grande Dame de la Mode bien sûr mais pas seulement. Une personnalité qui porte en elle, et sur elle…, une certaine idée de la France ou plutôt plusieurs idées de la France. Celle que chacun d’entre nous porte au fond de lui et qui permet de dire, qu’au delà des modes, justement…, certaines valeurs demeurent : la Fidélité, la Tradition, le bon Goût, celui du travail bien fait. Toutes valeurs qui ont fait la France et que vous avez su, peut être plus que d’autres, transmettre et que vous continuez à transmettre, encore et encore.

Chère Béatrice,

Par votre vie professionnelle, vous avez contribué à jouer un rôle que je qualifierais d’unique pour le rayonnement de la France, de sa culture et de son industrie. En tant que conseillère déléguée pour l’Espagne de la Maison Dior, vous avez contribué comme nulle autre au développement et à la renommée de DIOR, de la France et des Français, dans ce pays que nous chérissons tous. J’ai la faiblesse de penser que l’industrie du Luxe en Espagne vous doit beaucoup.

A cet égard, il est révélateur de retrouver la France et l’Espagne dans les premières places du marché européen du luxe par habitant. Il est aussi révélateur, et je le vois comme une juste récompense de votre activité professionnelle pendant toutes ces années, de retrouver Christian DIOR parmi les noms les plus cités en termes de notoriété par les consommateurs espagnols. Révélateurs enfin la renommée et le succès rencontrés par le Premier groupe de luxe de la péninsule ibérique. Ce succès est celui d’un nom, celui d’un groupe mais n’en doutons pas un seul instant, il est aussi le vôtre et nous sommes ici ce soir pour le saluer, pour vous saluer.

Chère Béatrice,

“Mode”, “Culture”, “Parfum”, “Art”, “Luxe”, “Renommée”, “Grandeur”, “Féminité” ce sont probablement quelques-uns des mots et adjectifs que l’on associe le plus, dans le monde, à la France. Sans surprise, en Espagne, ils sont associés à votre personne.

Mme Béatrice d’ORLEANS, femme d’affaires, en hommage à vos trente quatre années d’activités professionnelles et éducatives et au nom du Président de la République, je vous fais Chevalier de la Légion d’Honneur.

sábado, 24 de octubre de 2009

CHORIS, CHORIZOS Y CHORICETES

Es lamentable que, coincidiendo con estos trágicos momentos de nuestra economía, tengamos que enterarnos de una larga ristra de episodios de corrupción.

Al paso que vamos, la imagen de España, vía satélite, podría acabar siendo esta:


Y la foto de pasaporte del pobre Mariano Rajoy podría ser esta:


Y hablando de pasaportes... A Félix Millet, debido al escandaloso caso del Palau de la Música, la Justicia se ha limitado, por el momento, tan solo a retirarselo.


Ese hombre "ejemplar" y con cara de buena persona es un conocido personaje de la alta burguesía catalana.

Pensar que muchos aplaudieron su gestión.


Y que estuvieron a punto de levantar, en su honor, un monumento.


Millet admitía haber trincado "solo" unos 5 millones de euros, aproximadamente.

Pero, según las cuentas, ya vamos por los 20 millones.


Parece que en España, solo van a la cárcel los que roban una cantidad intermedia. Pues ayer leí la noticia de que 17 ladrones, multireincidentes, han sido detenidos 850 veces, en un año, y están en la calle.


Si el hurto no supera los 400 €. se castiga solo con una multa. ¿Y cómo se cobran las multas a unos chorizos insolventes? Este es un país en el que delinquir sale gratis. Los ciudadanos honestos se sienten decepcionados por la Justicia, y están muy preocupados por esa creciente impunidad.


Por suerte algunos acaban entre rejas, como es el caso de Francisco Correa.

Y de algún otro miembro del PP, que están destrozando la imagen de Mariano Rajoy.


Hay chorizos que aseguran que mangando se genera riqueza. ¡Es el colmo!


Yo, paso de ideologías políticas, y estoy del lado de quienes lo hagan mejor para la gran mayoría. Y divido a las personas de este planeta básicamente en dos categorías: los decentes y los indecentes. Ahora el juez Garzón ha destapado nuevos casos de corrupción en el PSC y en CIU. Y Jordi Pujol ha sugerido"que no se tire de la manta". ¡Manda huevos!

Yo, para no deprimirme, intento tomarme la vida con mucho humor. Como hace el genial Forges.



Y soy utópico: Creo que la izquierda y la derecha, en la actual nefasta coyuntura, deberían dejar de pelear e insultarse, y fusionar esfuerzos y programas, por una vez, para sacarnos de la crísis.


De lo contrario seguiremos a la cola de Europa, y nuestros brillantes políticos acabarán en la cola del paro.


O montando un barucho.


Y nuestro Presidente Rodriguez Zapatero no tendrá salida.


Y acabará enviando al traste a todo el PSOE.


Espero que el caso Millet no salpique a otros ilustres catalanes. Y hablando de mi querida Cataluña: Nuestros geniales gobernantes, en vez de dedicar todos sus esfuerzos a salvar la economía catalana, malgastan sus energías, su tiempo y el dinero de nuestros impuestos en banalidades lingüisticas. Y no es este el momento más oportuno.

Está demostrado, estadísticamente, que la gran mayoría de los catalanes no vemos cine en catalán. A pesar de ello, la Generalitat pretende imponer el doblaje al catalán de la mitad de las películas que se exhiban en Cataluña. Y fija multas millonarias a las películas no dobladas. Las productoras están que trinan.

Yo propongo, para el doblaje, un par de títulos acordes con la situación actual.




También le quieren cambiar el nombre al internacionalmente famoso Camino de Santiago, para llamarle "Camí de Sant Jaume". ¿Le gustaría a nuestro ingenioso Tripartito que a la Virgen Moreneta de Montserrat la llamasen: "La Morenita del Monteserrado"?


Pero eso no es todo. El Consell Escolar Catalá ha remitido a la Consellería de Educaçió de la Generalitat una propuesta para cambiar el nombre de la Fiesta de Navidad por "Feste d' Hivern" y las Fiestas de Semana Santa por "Feste de Primavera".

Santa Klaus, muy cabreado, ya se está despojando de su uniforme.


Pues ve que, en Cataluña, le está llegando su triste final.


Y yo sugiero que, cuando llegue la "Feste d'Hivern", al sustituto le hagan su nuevo uniforme en la ciudad de Valencia...


También me preocupa mucho lo que pueda pasarle a la tradicional Mona de Pascua de chocolate.

Esperemos que no tenga que decirnos también ¡Adiós!


Aquí, quien os dice ¡Adiós! soy yo, con este expresivo dibujo. Y con mis mejores deseos de progreso inteligente para Cataluña y el resto de España.



MAQUIAVELO dijo: "El ministro debe morir más rico de buena fama que de bienes".

Fotos via Flickr.